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Keewatin-Patricia District School Board

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La Nouvelle approche ontarienne des affaires autochtones impose au gouvernement de coopérer avec les dirigeants et organismes autochtones à l’amélioration du rendement des élèves autochtones[1]. Le défi que le ministère de l’Éducation a dû relever afin d’aider les élèves autochtones et d’évaluer leur progrès a été « l’absence de données fiables concernant le rendement des élèves des Premières nations, Métis et Inuit en Ontario »[2].

En mars 2003, le ministère de l’Éducation a subventionné un projet de recherche sur une politique pour l’auto-identification des élèves autochtones, une initiative des Northern Ontario Education Leaders (NOEL) et du Northern Aboriginal Educational Circle (NAEC). Le Keewatin-Patricia District School Board (KPDSB) était l’un des deux conseils scolaires choisis pour collaborer à l’élaboration d’une politique pour l’auto-identification. L’intention était que cette politique soit finalement utilisée par tous les conseils scolaires des NOEL afin de fournir au ministère de l’Éducation des données fiables sur les élèves autochtones.

À la suite du projet pilote des NOEL, six conseils scolaires du Nord-Ouest de l’Ontario ont mis au point une politique d’auto-identification. « Grâce à l’adoption de ces politiques d’auto-identification, ces conseils peuvent désormais axer leurs efforts et leurs ressources sur des stratégies d’amélioration des résultats des élèves autochtones et évaluer leurs efforts au fur et à mesure[3]. »

Au sujet du Keewatin-Patricia District School Board

Le KPDSB est l’un des conseils scolaires de l’Ontario les plus dispersés sur le plan géographique[4] avec 16 écoles élémentaires et cinq écoles secondaires réparties sur une surface de plus de 70 950 km2 dans le Nord-Ouest de l'Ontario[5]  Le KPDSB dessert environ 5 446 élèves[6], dont 38 % s’identifient comme Autochtones[7]. Il est estimé que ce chiffre atteindra 50 % d’ici 2010[8].

Répondre aux besoins de cette population d’élèves croissante était l’un des principaux facteurs qui ont poussé le KPDSB à élaborer et approuver la politique pour une auto-identification volontaire et confidentielle des élèves des Premières nations, Métis et Inuit (Voluntary and Confidential Self-Identification for First Nations, Métis and Inuit Students Policy) (la « politique »), en 2004[9]. En 2005, le KPDSB a demandé à tous ses étudiants autochtones[10] de s'auto-identifier sur les formulaires d'inscription à l'école. C'était le premier conseil scolaire de l'Ontario à le faire.

Pourquoi recueillir des données sur les élèves?

De nombreux facteurs ont conduit le KPDSB à la décision de recueillir des renseignements sur l'auto-identification auprès de ses élèves autochtones. Par exemple :

  • L’existence d’un large groupe, en pleine croissance, d’élèves autochtones, en particulier des Premières nations;
  • Des préoccupations au sujet de l’écart de rendement entre les élèves autochtones et les élèves non autochtones dans les domaines de la littératie et de la numératie, de la persévérance scolaire, du taux d’obtention du diplôme d’études secondaires et de la poursuite des études au palier postsecondaire[11];
  • Un manque de données exactes et fiables sur le nombre d’élèves autochtones, et la composition de ce groupe, ainsi que la réalisation que ces données sont indispensables à l’élaboration, à la mise en œuvre et à l'évaluation de programmes qui répondent aux besoins des élèves;
  • La conviction qu’une politique sensible aux besoins, transparente et responsable peut aider les élèves à atteindre leurs objectifs et améliorer les partenariats avec les parents autochtones et les communautés des Premières nations, Métis et Inuit;
  • La conviction, renforcée par l'appui des dirigeants supérieurs, que c'était la bonne solution.

Objectifs de la collecte de données sur les élèves

La collecte de renseignements sur l'auto-identification auprès des élèves autochtones du KPDSB va dans le sens des objectifs que le conseil a établis pour l'éducation de ses élèves autochtones dans son territoire de compétence, notamment[12]:

  • Réduire l'écart dans les résultats scolaires entre les élèves autochtones et les élèves non autochtones;
  • Offrir des possibilités d'apprentissage de haute qualité qui sont souples, adaptées aux besoins des élèves et accessibles pour les élèves autochtones;
  • Demander des fonds additionnels au gouvernement provincial afin d'aider les élèves autochtones dans la même mesure que les élèves immigrants le sont dans le sud de l'Ontario;
  • Améliorer les résultats des élèves autochtones à l'examen de l'Office de la qualité et de la responsabilité en éducation (OQRE);
  • Améliorer le taux de persévérance des élèves autochtones;
  • Améliorer les programmes en vue d'augmenter le taux d’obtention de diplôme dans les écoles secondaires;
  • Promouvoir des relations de travail et des partenariats efficaces et respectueux avec les parents autochtones et les communautés des Premières nations, Métis et Inuit.

Défis et planification         

Le KPDSB s’est retrouvé confronté à plusieurs défis au moment de la planification de sa politique, entre autres :

  • Le besoin de gagner la confiance et l’appui des familles autochtones et de leurs communautés;
  • Décider qui consulter parmi les familles et les communautés autochtones et comment;
  • Le besoin de renverser des craintes profondément ancrées de stéréotype et de discrimination au sein de la communauté autochtone, fondées sur de mauvaises expériences liées à la collecte de données par le passé;
  • L’extrême importance attachée à l’information recueillie, à son utilisation, à la confidentialité et aux mesures de protection de la vie privée;
  • La logistique d’informer et de sonder environ 6 200 élèves dispersés sur une très grande surface.

Préparatifs pour l’élaboration de la politique et le sondage des élèves

Afin de relever ces défis, le KPDSB a pris un certain nombre de mesures avant d'envoyer aux familles autochtones les formulaires d'inscription demandant des renseignements sur l'auto-identification, notamment:

  • Consulter les directeurs d’école, les enseignants, les élèves, les communautés, les groupes locaux et d’autres intervenants clés au moins six ans avant d’ébaucher la politique afin d'obtenir des renseignements sur les progrès des élèves autochtones et la prestation des programmes connexes;
  • Étudier les publications et documents existants, dont les publications de la Commission ontarienne des droits de la personne, ainsi que la législation pertinente, avant de préparer des documents préliminaires et une première ébauche de la politique;
  • Tenir de nombreuses consultations au sujet de l'ébauche de politique pour s'assurer que les familles et communautés autochtones comprenaient et appuyaient l'initiative, et qu'elles s'auto-identifieraient sur les formulaires d'inscription à l'école;
  • Travailler avec le Kenora Catholic District School Board, NAEC par le biais des NOEL, les partenaires communautaires locaux et les organismes des Premières nations afin de communiquer avec les parents autochtones et les membres des communautés autochtones;
  • Concevoir une vaste stratégie de communication qui prévoyait la tenue de réunions publiques locales avec les parents autochtones, la parution d’articles dans la presse locale, l’envoi de lettres aux parents, des communications aux communautés des Premières nations par le biais des partenaires des Premières nations, et la distribution de brochures dans des centres locaux, comme des centres commerciaux;
  • Former des parents et des éducateurs autochtones à promouvoir le projet;
  • Répondre aux préoccupations en matière de protection de la vie privée en veillant à ce que toutes les données soient stockées en toute sécurité, protégées par la loi sur l'accès à l'information, et traitées de la même façon que les dossiers scolaires de l’Ontario, qu’aucune donnée individuelle ne soit divulguée[13], et que les données ne soient utilisées qu’aux fins d’améliorer les programmes d’enseignement aux Autochtones;
  • Former les secrétaires et le personnel administratif de première ligne dans les écoles à répondre convenablement aux questions des parents au sujet du formulaire d’inscription;
  • Concevoir une question simple dans le sondage qui demandait aux élèves de s’auto-identifier comme étant d’« ascendance autochtone », qui, précisait le KPDSB, incluait les Métis et Inuit.

Administration du sondage auprès des élèves

  • Le 12 janvier 2005, le KPDSB a envoyé les formulaires d’inscription des élèves à plus de 6 200 élèves, en y joignant une lettre d’accompagnement et une brochure expliquant la politique, l’objet de la collecte des données et les mesures prises pour protéger la confidentialité.
  • Les parents pouvaient répondre aux questions du sondage au nom des élèves, en particulier pour les élèves du palier élémentaire. Ils avaient quelques semaines pour répondre.
  • Chaque école du KPDSB devait prendre note de ceux qui s’étaient auto-identifiés et faire le suivi lorsque des gens ne répondaient pas.
  • Les secrétaires et le personnel administratif de première ligne du KPDSB ont fait un suivi auprès de chaque famille qui n'avait pas renvoyé le formulaire pour lui demander si elle souhaitait répondre à la question sur l'auto-identification.
  • Les familles avaient pour instruction de retourner le formulaire, même si elles avaient laissé en blanc la question sur l’auto-identification.
  • Le formulaire d’inscription de l’élève a été ensuite modifié pour énoncer la question de l’« ascendance autochtone » avec le choix d’inscrire : « Première nation, Métis ou Inuit ».
  • Les formulaires révisés ont été envoyés uniquement aux élèves qui s’étaient auto-identifiés dans les formulaires d’inscription envoyés en 2005.

Résultats clés sur les élèves

  • Sur un échantillon approximatif de 2 200 élèves autochtones, le KPDSB estime qu’un peu moins de 100 % des élèves autochtones de l’élémentaire et environ 80 % des élèves autochtones du secondaire se sont auto-identifiés sur les formulaires d’inscription[14].
    • Résultats clés découlant de l’analyse des données sur l'auto-identification :
    • Il existe un écart de rendement entre les élèves autochtones et les élèves non autochtones;
    • Avec un soutien et des programmes ciblés, les élèves autochtones semblent s’améliorer au même taux que les élèves non autochtones, ce qui indique que les élèves autochtones sont tout aussi capables d’obtenir un bon rendement;
    • Il existe un écart linguistique à l’oral entre les élèves autochtones et les élèves non autochtones qui entrent dans le système scolaire, au niveau de la maternelle et du jardin d’enfants, ce qui se répercute sur les compétences des élèves autochtones en littéracie;
    • Une croyance bien ancrée semble exister au sujet de la capacité des élèves autochtones à réussir, qui mine la confiance que ressentent les élèves autochtones et leurs communautés.

Mesures prises pour donner suite aux résultats

Le KPDSB est déterminé à atteindre ses objectifs en matière d'éducation des Autochtones et à faire état des progrès accomplis auprès des communautés autochtones et du grand public. Le conseil scolaire continue de recueillir des données sur l'auto-identification en maintenant la question sur le formulaire d'inscription des nouveaux élèves. Les secrétaires et le personnel de première ligne continueront à suivre une formation sur la façon d’expliquer, avec discrétion et respect, aux étudiants et à leurs familles le contenu de la politique et de répondre à leurs questions. Autres mesures prises par le KPDSB :

  • Faire état de ses progrès par le biais de divers outils de communication, comme des réunions publiques du conseil, le site Web du KPDSB, des communiqués de presse et des vidéoconférences avec les communautés éloignées;
  • Mettre l’accent sur la célébration des réalisations et des progrès des élèves autochtones afin d’encourager et de stimuler les élèves autochtones, leurs communautés et le grand public;
  • Constater les obstacles et les éliminer en élaborant des programmes, politiques et initiatives ciblés, visant à soutenir les élèves, les familles et les communautés autochtones, ainsi que les employés du KPDSB. Exemples : instaurer la politique dans toutes les écoles du KPDSB et s'engager à élaborer une brochure soulignant les bons résultats obtenus par la politique, qui sera distribuée aux élèves, à leurs familles et aux communautés;
  • Mettre en œuvre un Projet d’auto-identification et de recherche sur la communication orale, commandité par le Secrétariat de la littératie et de la numératie du ministère de l’Éducation, dans l’intention d’améliorer la communication orale, qui à son tour améliorera la compréhension de textes[15].
    • Tous les enseignants de la maternelle, du jardin d'enfants et de la première année du KPDSB et de ses huit conseils scolaires des NOEL participent. Les enseignants travaillent directement avec un spécialiste de la littératie internationale pour apprendre des stratégies efficaces d'expression orale destinées à aider les élèves à mieux s'exprimer.
    • Des données sont recueillies dans le cadre de l'évaluation du langage oral, qui mesure le langage dans son versant réceptif, et établit un niveau de texte pour les élèves du jardin d'enfants et de première année;
    • Les résultats du projet à cette date démontrent qu'avec un enseignement adéquat, les élèves autochtones améliorent leurs résultats à l'évaluation du langage oral[16].
  • Mettre en œuvre des initiatives de développement de la personnalité qui se fondent sur les sept enseignements de grand-père des Anishinaabe. En appliquant ces enseignements, le KPDSB aide les élèves par des pratiques réparatrices, la discipline progressive et les cercles de guérison autochtones. Les résultats ont eu un impact positif en instaurant une culture systémique de compassion et d’inclusion, et en réduisant considérablement le nombre de suspensions formelles[17] ;
  • Organiser des retraites « Voice for Vision », où tous les élèves du secondaire du KPDSB se réunissent pour exprimer leurs préoccupations et idées sur l’amélioration de l’apprentissage. Les séances d'information sont animées par les enseignants oeuvrant à la réussite scolaire. Un résumé des idées est communiqué à chaque école et des plans d'action sont élaborés et mis en place, avec la participation et la collaboration des élèves[18].

Meilleures pratiques

  • Avant de planifier une activité avec des communautés des Premières nations, il est recommandé de demander au préalable leur permission, avant de discuter de questions pertinentes avec les organismes territoriaux politiques régionaux et/ou les conseils tribaux, comme le Grand Council Treaty No 3, ainsi que d’autres organismes autochtones, tels que la Métis Nation of Ontario;
  • Créer un plan de communication efficace, avec des documents imprimés, comme des brochures, que les familles peuvent emporter pour les lire à la maison;
  • Former les parents et éducateurs autochtones à promouvoir la politique en leur expliquant son contenu et ses objectifs de mise en oeuvre;
  • Mener des consultations transparentes à grande échelle;
  • Écouter les partenaires et être attentif aux préoccupations des intervenants;
  • Répondre aux préoccupations liées à la confidentialité et à la protection de la vie privée, et assurer que les données seront utilisées dans un but positif, qui est directement lié à l’amélioration du rendement des élèves autochtones et à la réduction des écarts;
  • Expliquer la politique aux secrétaires et autres personnels de première ligne afin qu’ils comprennent l’initiative et qu’ils soient en mesure de répondre aux craintes formulées;
  • Faire état des résultats aux intervenants et communautés touchées.

Leçons retenues

  • « La collecte de données sur l’auto-identification a confirmé l'existence d'un écart, mais a également démontré que les élèves autochtones étaient parfaitement capables d'atteindre le même niveau d'apprentissage que les élèves non autochtones. C'est un fait important qu'il faut communiquer aux élèves, aux familles, à leurs communautés et au grand public. » [19] [traduction]
  • « La collecte de données sur l'auto-identification a aidé le KPDSB à concevoir et mettre en œuvre des programmes et soutiens ciblés pour les élèves autochtones auxquels il n'aurait pas nécessairement pensé. »[20]  [traduction]
  • « Lorsqu’on pose des questions difficiles, on apprend des choses sur soi-même qui nous embarrassent, mais on peut quand même y répondre correctement. »[21]   [traduction]

[1] Le ministère de l’Éducation de l’Ontario définit le terme « autochtone » comme regroupant les peuples des Premières nations, Métis et Inuit. Selon le ministère, « Conformément à la définition de peuples autochtones de la Constitution, toute politique d’auto-identification élaborée par un conseil scolaire doit reconnaître l’existence des quatre cohortes suivantes d’élèves autochtones qui fréquentent les écoles ontariennes financées par la province : 1. élèves des Premières nations qui habitent dans des collectivités des Premières nations et fréquentent des écoles élémentaires ou secondaires financées par la province dans le cadre d’une entente sur les frais de scolarité; 2. Élèves des Premières nations qui habitent dans un lieu relevant de la compétence d’un conseil scolaire et fréquentent des écoles élémentaires ou secondaires financées par la province; 3. Élèves Métis qui fréquentent des écoles élémentaires ou secondaires financées par la province; 4. Élèves Inuit qui fréquentent des écoles élémentaires ou secondaires financées par la province. » Les élèves autochtones qui habitent dans des collectivités des Premières nations et fréquentent les écoles élémentaires ou secondaires situées dans ces collectivités ne sont pas représentés par les politiques d’auto-identification élaborées par les conseils scolaires provinciaux. Ministère de l’Éducation de l’Ontario, Les chemins de la réussite pour les élèves des Premières nations, Métis et Inuit (2007), p. 9, en ligne : www.edu.gov.on.ca [rapport du MOE]. Selon le recensement de 2001, plus de 75 % de la population autochtone de l’Ontario habite dans des zones relevant de la compétence d’un conseil scolaire financé par la province. Ibid. p. 7.
[2] Ibid., p. 6-7.
[3] Ibid., p. 8.
[4] Ministère de l’Éducation de l’Ontario, Réaliser le potentiel d’apprentissage, Stratégies efficaces de conseils scolaires pour améliorer le rendement des élèves en littératie et en numératie – Rapport d’étude de cas : Keewatin-Patricia District School Board (2006), p. 13, en ligne : www.edu.gov.on.ca.
[5] Lors d’un entretien téléphonique du 23 mars 2009 avec un membre du personnel de la CODP, Larry Hope, directeur de l’éducation du KPDSB, a déclaré qu’« en termes de kilomètres carrés, [la région que couvre le KPDSB] est géographiquement équivalente à la taille de la France » [entretien téléphonique du KPDSB].
[6] En 2008, le KPDSP comptait l’équivalent temps plein de 5 446 élèves inscrits. Ce chiffre a peut-être fluctué depuis. Voir le rapport annuel du directeur de 2008 (2008 Director’s Annual Report) du Keewatin-Patricia District School Board, (2008), en ligne : www.kpdsb.on.ca [Rapport annuel].
[7] Le KPDSB adopte la définition d’« autochtone » endossée par le ministère de l’Éducation.
[8] Rapport annuel, supra note 6.
[9] Keewatin-Patricia District School Board, Board Policy 315 (2004), en ligne : www.kpdsb.on.ca [Politique du conseil].
[10] Veuillez noter que le terme « autochtone » sera utilisé pour désigner les élèves des Premières nations, des Métis et des Inuit, dans le reste du document, sous réserve d’une indication expresse contraire.
[11] Rapport du ministère de l'Éducation, supra note 1, p. 6, et Politique du conseil, supra note 9, p. 2.
[12] Politique du conseil, supra note 9, p. 1-2.
[13] « Lorsque les chiffres sont suffisamment petits pour que de l’information personnelle soit révélée, aucune information de ce genre ne sera communiquée. Le nombre est de 15 élèves ou moins. » supra p. 3.
[14] Rapport du ministère de l'Éducation, supra 1, p. 19
[15] Northern Ontario Education Leaders (NOEL), « Projet d’auto-identification et de recherche sur la communication orale du Secrétariat de la littératie et de la numératie », en ligne : NOEL www.noelonline.ca/index.php?pid=39 . Voir aussi le rapport annuel, supra note 6.
[16] NOEL, langage oral, supra note 15.
[17] Rapport annuel, supra note 6.
[18] Ibid.
[19] KPDSB – entretien téléphonique, supra note 5.
[20] Ibid.
[21] Ibid.

 

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